Le crime d homicide est l’un des délits pénaux que la loi punit avec une plus grande sévérité parce qu il prive de son droit à la vie à une personne physique.
Les homicides peuvent être simples, pénibles (quand le sujet actif a l intention positive et la capacité à comprendre les conséquences de sa conduite), involontaires (quand on ne connais pas la conséquence de l acte effectué ou il existe une tentative manquée pour éviter l omission), involontaires (quand l intention du sujet actif sera de produire des dommages, mais pas le décès) et qualifiés (quand il répond à des circonstances plus spécifiques comme l aggravation, l atténuation et la rémunération économique).
Quand l homicide est perpétré de manière pénible avec avantage, préméditation, traîtrise et trahison, il constitue un meurtre.
L Infraction d homicide est punie dans la majorité des cas avec la peine de prison. Pour cette raison les personnes arrêtées par des accusations de ce type doivent être capables d éclaircir le plus largement possible les circonstances qui sont à l origine et/ou qui modèlent la perpétuation du crime dont on l’accuse. Cela permet d obtenir une punition plus adéquate en conséquence de ces particularités.
D autre part, l homicide est considéré comme une conduite d action (quand le sujet actif effectue les mouvements corporels nécessaires pour tuer la victime). Mais il peut aussi être considéré comme une conduite d omission si la vie du sujet passif était soumise à un certain comportement du meurtrier qui était son tuteur de vie. C’est le cas des personnes qui doivent être approvisionnées d un certain médicament, attention, alimentation, etc. par une autre personne, laquelle a manqué à son obligation et par conséquent est responsable du décès.
Quels facteurs constituent aggravants d un délit de meurtrier ?
L analyse préalable du fait, à savoir, l étude de la victime, ses mouvements, ses craintes, son état de santé ainsi que de certaines actions qui tendent à "le préparer" (incendies, inondations ; etcetera) qui peuvent ou non être perpétrées et/ou être provoquées par le propre meurtrier, constituent des aggravants de la peine par délit d homicide.
De même, on considère une peine plus grave pour les personnes qui effectuent l infraction avec traîtrise ou avantage évident sur la victime ainsi que pour ces meurtriers qui profitent de la confiance de la partie passive (Trahison).
D autre part, ils existent de divers aggravants de l infraction d homicide qu ils répondent à la relation entre le sujet actif (meurtrier) et le sujet passif (sa victime), qu’ils soient des parents consanguins, conjoints, etcetera ou des membres de la représentation maximale de l État (dans ce cas on l’appelle Magnicide).
En outre, les cours de justice analysent si des questions à caractère ethnique, racial ou religieux sont intervenues dans la conduite de l exécuteur de l infraction. Dans ces cas le crime est connu comme génocide et il peut être abordé depuis les conditions légales du Droit Pénal International.
Quels éléments pourraient s avérer atténuants de la peine établie par le Code Pénal de l État pour punir le délit d Homicide ?
D abord, on tient compte de l état physique et mental du sujet actif, s il souffre d une certaine pathologie psychologique grave qui modifie sa conduite ou une certaine maladie dégénérative de sa capacité de raisonnement, si elle a effectué l infraction sous les effets une certaine drogue ou une substance psychotrope, etcetera.
En outre, on analyse les aspects liés à la victime qui ont pu influencer la conduite de l exécuteur du crime, comme menaces préalables du sujet passif vers le meurtrier et/ou sa famille, ses amis, etcetera, provocations de tout type, contrainte, entre autres.
On considère aussi un atténuant de l infraction d homicide simple l existence de l émotion violente ; laquelle constitue un pas vers « l excuse » de tuer. L émotion est considérée par le Droit comme un état animique dans laquelle le sujet ou la personne agit avec une diminution significative de sa capacité inhibitrice de la volonté. En ce sens, le droit déclare la légalité de l émotion, mais il ne reconnaît pas, évidemment, le droit de perpétrer le décès à une personne. Par conséquent, il est important de considérer que l émotion doit être intense, que la provocation et la catharsis de l émotion se sont produit de manière immédiate, que les motifs de cette émotion sont contenus dans un ordre moral excusable et que la réaction et/ou l élan sont immédiats, de sorte qu il n existe pas le temps nécessaire pour la réflexion.
Il existe des cas où le responsable par une Infraction d homicide est exonéré de responsabilité pénale ?
La personne qui enlève la vie à un semblable sous l accomplissement d un ordre de commande supérieure ou d’un devoir légal, peut être exclue de responsabilité pénale. De même, si la partie active actionnait en légitime défense ou son acte a contribué à la prévention d une infraction plus grave, peut être exonéré de la peine de prison (que c est celle qui est normalement appliquée à tout cas d’Homicide) et il peut même s avérer libre de toute peine.